John Duxbury tient un journal. Il nous y parle de son couple, de sa vie désabusée de quinquagénaire ayant « réussi » dans la vie mais qui ne supporte plus sa femme. Quand un week-end à deux tourne mal, sa vie est enfin bousculée.
Manque de bol pour lui, l’inspecteur Harker est le genre de flic qui ne lâche jamais rien…
Un face à face de haut niveau se construit tout au long du roman. J’ai été complètement scotchée par les révélations finales.
Ce polar n’a pas pris une ride depuis sa parution dans les années 80. Un pur bonheur. À ajouter d’urgence à la liste de vos prochaines lectures ! (Moi je l’ai déjà refilé à mon mari, je n’aurais peut-être pas dû, il me trouve quelques points de ressemblance avec la femme du narrateur…)
Traduit de l’anglais par Laurence Romance.
Aurélie.
Une confession, John Wainwright, 10/18, 312 p. , 7.80€.