Voilà le page-turner qu’il me fallait pour passer toute une journée loin de mon quotidien.
Près de 500 pages en compagnie d’hommes et surtout de femmes entre 2026 et 2032 après l’apparition d’un virus au taux de mortalité extrêmement haut et très sélectif…
Passés la stupeur, la douleur du deuil, les questionnements hébétés, c’est tout un monde qu’il va falloir reconstruire.
Une multiplicité de voix traverse ce roman qui fait la part belle autant au monde médical qu’ au politique, qui vont avoir à relever un défi inédit qu’aux expériences intimes et bouleversantes de femmes et de leurs proches tout autour du globe.
Il est important de souligner que l’écriture de ce roman a été achevée en 2019, l’autrice était alors loin de se douter de ce que nous réserverait 2020…
La couverture sublime du livre ne manquera pas d’attirer votre regard en librairie. J’espère alors que, tout comme moi, vous vous perdrez en ses pages jusqu’à oublier tout ce qui vous entoure. Ah ! Le pouvoir d’un excellent roman !
Traduction de l’anglais de Juliane Nivelt.
Aurélie.
La Fin des hommes, Christina Sweeney-Baird, Gallmeister, 480 p. , 25€50.